Publié dans Politique

Route des Hydrocarbures - Fin du chantier avant les fêtes de Pâques

Publié le jeudi, 17 avril 2025

Hier soir, tout de suite après le Conseil des ministres, le patron des Travaux publics, Richard Théodore Rafidison, et ses proches collaborateurs sont descendus sur le chantier de la route des Hydrocarbures à Ankorondrano. La fin de la réhabilitation de cet axe, parmi les plus sollicités dans la ville d’Antananarivo, interviendra avant dimanche. « Les travaux seront terminés avant les fêtes de Pâques », a annoncé le ministre.

Selon lui, le chantier qui finira bientôt est une promesse faite à la population d’Antananarivo. Il relève aussi des consignes reçues du Président Andry Rajoelina. La route des Hydrocarbures a été retouchée pour être aux normes. La technique mise en œuvre vise à la rendre durable face aux pressions qu’elle subit à longueur d’années à cause des mouvements des camions-citernes qui y passent constamment. Un soin particulier a été ainsi accordé au rond- point à proximité du dépôt des Hydrocarbures à Alarobia.

L’aboutissement à temps du chantier répond également à une double nécessité impérative : l’accueil de la visite d’Etat du Président français, Emmanuel Macron, mercredi prochain et du 5e sommet de la Commission de l’océan Indien qui aura lieu à Antananarivo jeudi prochain. A ce titre, plusieurs rues et voies urbaines d’Antananarivo ont été retouchées pour fluidifier le trafic dans la ville et contribuer à l’embellissement de celle-ci.

Plus que quelques jours et le bout du tunnel sera là pour les usagers qui endurent des calvaires et des désagréments causés par les embouteillages monstres en lien avec les chantiers dans la Capitale. Mais la réhabilitation de toutes les voies et rues d’Antananarivo et de ses banlieues ne se fait pas en quelques jours. D’autres chantiers ne tarderont pas à venir après les fêtes pascales.

M.R.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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